"... avevo scoperto l'abisso della rassegnazione, la virtù del distacco, il piacere del pensare pulito, l'ebbrezza della creazione politica, il fremito dell'apparire delle cose impossibili..." Altiero Spinelli

Cinquant'anni dopo, la poesia di Leo Ferrè

Leo e Pepee

7 aprile 1968, buon compleanno Pepee

https://youtu.be/5fVPkIn_fGA

“... Due occhi simili a lanterne
quelle che splendono nei porti
quando l’avere occhi di scorta
farebbe gola ai marinai
per osservar la notte altrui
così come uno scimpanzé
presso i Ferré
Pépée...”

T'avais les mains comm' des raquettes
Pépée
Et quand j' te f'sais les ongles
J' voyais des fleurs dans ta barbiche
T'avais les oreill's de Gainsbourg
Mais toi t'avais pas besoin d' scotch
Pour les r'plier la nuit
Tandis que lui... ben oui !
Cez les Ferré
Pépée

T'avais les yeux comm' des lucarnes
Pépée
Comme on en voit dans l' port d'Anvers
Quand les marins ont l'âme verte
Et qu'il leur faut des yeux d' rechange
Pour regarder la nuit des autres
Comme on r'gardait un chimpanzé
Chez les Ferré
Pépée

T'avais le coeur comme un tambour
Pépée
De ceux qu'on voil' l' vendredi saint
Vers les trois heures après midi
Pour regarder Jésus-machin
Souffler sur ses trent'-trois bougies
Tandis que…

T'avais le coeur comme un tambour
Pépée
De ceux qu'on voil' l' vendredi saint
Vers les trois heures après midi
Pour regarder Jésus-machin
Souffler sur ses trent'-trois bougies
Tandis que toi t'en avais qu' huit
Le sept avril
De soixante-huit
Pépée

J' voudrais avoir les

 

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